À l’occasion de sa venue au Salon de l’AMIF, David Lisnard a adressé un message clair : dans un mandat éprouvant, marqué par les crises, les maires restent les praticiens du quotidien, en prise directe avec les Français.
“C’est un mandat d’habitant parmi les habitants, mandaté par les habitants.”
Un mandat sous tension mais encore porté par l’action
En cette fin de mandat, les maires sont concentrés sur la concrétisation de leurs engagements, malgré un contexte contraint :
• Inflation normative et juridique : le code de l’environnement est passé de 100 000 à 1 million de mots, le code des collectivités multiplié par 3,
• Perte de liberté d’action,
• Dépendance financière accrue à l’État.
La commune, échelon moderne et incontournable
Face aux discours sur le “trop grand nombre de communes”, Lisnard est formel : la commune n’est pas un archaïsme, c’est un outil moderne car ancré dans la réalité humaine, géographique et historique.
“La commune, ce n’est pas un découpage administratif. C’est une réalité.”
Un soutien fort à l’AMIF et aux maires franciliens
“C’était à la fois pour porter la voix des maires de France et soutenir les actions locales concrètes menées en Île-de-France.”